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33 articles avec les jovenet et la branche maternelle

Sur le Paris-Roubaix, des pavés et...

Publié le par Evelyne Guyader-Debrabant

Vu la météo, j'ai un peu travaillé aujourd'hui !

Avec la télé en fond.. sur Paris-Roubaix.. quelle amusante coïncidence ! (Faut bien rire un peu..😉)

Le coureurs qui traversent les villages de mes ancêtres.. pendant que je mets à jour mon arbre.. Pour ceux qui ont entendu les noms de ces lieux célèbres pour leurs pavés.. Non ! Pas la trouée d'Arenberg ! Un peu plus haut, Templeuve, et aussi à droite ou à gauche du tracé.. mais dans l'coin, quoi !

Un couple de Templeuve.. et Genech.. de ma branche maternelle, par une de mes agm, née à Nomain.

Mes autres agp maternels étaient de Bersée.. Bref les coureurs du Pari-Roubaix passaient dans "min coin" !

Aujourd'hui c'est autour de Jacques DELEBASSEE, et Gillette MARTINACHE, son épouse.. Peu d'éléments complets, mais.. je n'avais que le nom.. donc on avance un peu avec des dates approximatives.. On m'a aussi trouvé des ascendances..

Remarque : Gillette Martinache avait pour profession Graissière : "Marchande d'huile, de graisse, de chandelles" (à voir --> définition CNTRL) ou encore, définition du Littré : graissier, ière - (grè-sié, siè-r') - adj. : Terme de commerce. "Qui vend de la graisse. Épicier graissier".

Evelyne Micheline Andrée DEBRABANT est une descendante à la 12e génération de Jacques DELEBASSEE. 1 branche : Voir

Ascendants d'Evelyne Micheline Andrée DEBRABANT jusqu’à Jacques DELEBASSEE  Voir

Ces jours-ci, j'avais pu saisir quelques autres individus..

Sur ma branche maternelle.. un couple,  et leurs parents respectifs !

Je suis donc partie de Marc François Olivier (puis son épouse, et leurs parents)

Evelyne Micheline Andrée DEBRABANT est une descendante à la 8e génération de Marc François OLIVIER. 1 branche : Voir

Ascendants d'Evelyne Micheline Andrée DEBRABANT jusqu’à Marc François OLIVIER  Voir

La mise à jour est terminée ! (pour aujourd'hui).
Il y a désormais 1 174 individus dans ma généalogie en ligne  

Aller sur mon arbre en ligne

 

Cultivateurs, agriculteurs..

Publié le par Evelyne Guyader-Debrabant

..Laboureurs, Censiers, Fermiers..

Le travail d'un cultivateur

"Tout d'abord le terme de cultivateur est utilisé environ de 1800 à 1960, avant c'était un laboureur et aujourd'hui un agriculteur. Un laboureur vivait en autarcie et cultivait d'abord pour se nourrir : les céréales pour la farine et son pain, la vache pour le lait et les fromages, le porc pour la viande qu'on conservait salée, la vigne et les pommiers  pour le vin et le cidre, le mouton pour la laine.
Puis les rendements devenus meilleurs, il livra son blé aux minotiers (qu'on appelle aussi fariniers), le train transporta son vin, les animaux vendus au boucher. Enfin l'agriculture moderne arriva avec la mécanisation vers 1900 et la mondialisation après 1950..." (le travail d'un cultivateur - Généanet)

C'était mon introduction du jour ! Parce que c'est le sujet principal de notre actualité ces derniers jours.. et les cultivateurs et tous ces métiers de la terre.. je les soutiens puisque j'en viens.. Pas besoin de remonter bien loin chez mes ancêtres.. hommes et femmes.. tant dans ma famille paternelle que maternelle..

Cultivateurs, agriculteurs..

Hier donc j'ai pu compléter quelques individus manquants..

Aujourd’hui, mercredi 31 janvier 2024, c’est l’anniversaire de mariage de...

Jean Baptiste Joseph était.... cultivateur ! 😉

  • Né le 20 janvier 1782 - Bersée, 59235, Nord, Nord-Pas-de-Calais, FRANCE
  • Décédé le 16 juin 1853 - Bersée, 59235, Nord, Nord-Pas-de-Calais, FRANCE, à l'âge de 71 ans
  • Cultivateur

Ascendants d'Evelyne Micheline Andrée DEBRABANT jusqu’à Jean Baptiste Joseph MARTEAU

Il était le grand-père de mon arrière grand-père maternel Séverin Emile Marteau, qui lui, était Comptable, Instituteur,  puis Cabaretier. Il tenait l'Estaminet Marteau à la Porte d'Arras, à Douai.

J'en suis donc à 1115 individus, sur 10 générations..

Bon voila pour aujourd'hui.. Mais j'ai encore beaucoup de travail !

Une pensée pour Maman, on fête les Marcelle..

Les années passent..

Publié le par Evelyne Guyader-Debrabant

.. mais jamais sans penser à elle, Maman, dite "Nénette" ou "Mamy Nénette".. qui aurait 94 ans aujourd'hui..

Les années passent..

Au baptême de la Caravelle "Flandre".. vers 1960, à l'Aéroport de Lille-Lesquin.

L'Epicier de son temps..

Publié le par Evelyne Guyader-Debrabant

Nous y voila.. Les années "Seclin"

  • 1950 - "L'épicerie de Papa et Maman.. Seclin"

Marié, père de famille (de moi..) et démobilisé, André (mon père), après avoir travaillé dans la branche (c'est le cas de le dire) arboriculture-horticulture, choisit finalement de retourner vers l'épicerie de Papa et Maman..

Il fera le représentant de commerce.. Classe, avec sa Peugeot 203, non ?

"Représentant en confitures..."

Mon Grand-père en 1932

L'épicerie de mon grand père, Pierre Debrabant, épicier, marchand de vins et spiritueux, "de Père en Fils depuis 1896".. (c'était aussi dans le slogan de Papa, on verra ça plus tard....)

Ci-dessous des documents des années 30.. 

Une photo et des factures..

Mon grand-père, ma grand-mère (l'enfant doit être mon parrain Jean Turbelin) et des factures de l'époque.. (oui, les factures sont au nom des parents de mon parrain, à savoir la sœur jumelle de ma grand-mère, Suzanne et son époux Augustin Turbelin, qui tenaient un bistrot)

L'Epicier de son temps..
L'Epicier de son temps..L'Epicier de son temps..

Ah.. le Souka.. qu'on recevait par cuves entières (camions-citerne), puis qu'on mettait en fûts ou barriques (la différence ? hein ? moi je sais !).. Si mes souvenirs sont bons, le Souka était un vin d'Algérie .. un bon gros rouge qui tache..

Mais revenons aux années 50.. La cave

L'Epicier de son temps..L'Epicier de son temps..

 

  • 1951 : "Nanar" - Naissance de mon frère, Bernard, le 16 juin !

(J'ai juste 18 mois..)

Je n'ai hélas pas de photos de mon frère bébé.. 

En octobre de la même année, naissance de ma cousine Odile, chez mon oncle Michel et ma Tante Jeanne !

La famille s'agrandit !

Puis il y aura Guy, puis Sylvie, plus tard.... (qui n'est pas sur les photos)

L'Epicier de son temps..
L'Epicier de son temps..
L'Epicier de son temps..
L'Epicier de son temps..
L'Epicier de son temps..

Fin des années 50, fin des années d'insouciance..

"..et déconfiture"

La famille Debrabant éclate.. Mon oncle et ma tante quittent Seclin..

Papa reprend seul avec Maman, l'affaire d'épicerie en gros et ouvre un magasin d'épicerie de détail. Ma grand-mère restera avec nous et tiendra la comptabilité et la caisse.. Je m'en souviens de ces soirs où je l'aidais à faire la caisse, compter les billets et les pièces.. Et surtout qu'elle me disait "N'oublies pas de te laver les mains, c'est sale des sous !" 😆

"Debrabant, l'Epicier de son temps" est né ! Premier magasin "libre-service" du coin.. !

L'Epicier de son temps..
L'Epicier de son temps..
L'Epicier de son temps..
L'Epicier de son temps..
L'Epicier de son temps..
L'Epicier de son temps..
  • 1959 : "l'épicerie à roulette"..

Un camion magasin, d'abord un "Tube" Citroën, puis des bus aménagés en magasin "libre-service"..

L'Epicier de son temps..
L'Epicier de son temps..
L'Epicier de son temps..
L'Epicier de son temps..
L'Epicier de son temps..
L'Epicier de son temps..
L'Epicier de son temps..
  • 1964/1965 : "Bernard dans la cornière"

Mon p'tit frère quitte l'école et choisit de travailler comme apprenti monteur en cornière perforée (chez P.A.I. Profil Acier Idéal à Lille).. plutôt qu'entrer en 6e.. A l'époque on pouvait quitter l'école à 14 ans.. D'où les rayonnages en cornières perforées au magasin, dans les bus libre-service..

  • 1965 : "Evelyne se fait des cheveux".. 😉

Mon BEPC en main, je décide de quitter l'école pour devenir apprentie coiffeuse.. Mon père n'était as trop d'accord.. Il me voyait faire de hautes études commerciales.. oui, oui.. HEC.. Ben non.. Ma meilleure copine était apprentie coiffeuse (Coucou Brigitte !). Un coiffeur du salon où elle travaillait s'installait à son compte et cherchait une apprentie.. Allez hop.. J'y vais ! Il m'embauche ! A l'époque il fallait être présenté par les parents.. Finalement, ils n'ont pas dit non.. Me voilà apprentie coiffeuse, à Lille, en 1965.. Puis problèmes de santé.. Et mon "patron" qui doit se séparer d'une de ses deux apprenties.. Ce sera moi.. Fin 1966, j'arrête..

Dans le même temps, en juillet 1965, sur la base aérienne de Lesquin, j'ai rencontré celui qui deviendra mon mari, trois ans plus tard ! 😊..

1967 : Mon père me trouve du travail quelques mois comme secrétaire dans une école de pilotage à l'aéroport de Lille/Lesquin.. Puis je travaille à la comptabilité de l'entreprise paternelle avec ma grand-mère. Parallèlement, je prends des cours de "sténo-dactylo" chez Pigier, à Lille, puis à Douai, en 1968.. Pourquoi Douai ?...

  • 1967 : "Papy, c'est fini"..

Le 24 Octobre 1967, à Wagnonville (Douai), décès de mon grand-père maternel, Pierre Victor Jovenet.. Il a tout juste 59 ans.. Accident de carabine ou suicide.. on ne saura jamais.. En tous cas, moi, je ne saurai jamais.. J'ai 17 ans, c'est une histoire de "grands".. (Et plus personne pour m'en dire plus maintenant..)

Anecdote : Je résous à l'instant une énigme. Dans son manuscrit plus haut, mon père a écrit "Sylvie des Trois Ormes".. Je ne sais pas de quoi il s'agit. Par curiosité, là, à l'instant, ce vendredi 28 octobre 2022 où je suis en train d'écrire ce billet, je me dis "tiens je vais voir si il y a quelque chose à ce sujet sur Google".. Bingo ! Je découvre qu'il s'agit d'une série (à l'époque on disait "un feuilleton") qui se passe dans le domaine de l'agriculture et qui parle de l'avenir d'une ferme..

Voilà, au décès de Papy Jovenet, Mamy se retrouve, avec son beau-frère Augustin et mon arrière-grand-mère Jovenet, à la tête de l'exploitation horticole.. et donc Papa, dont c'est le métier d'origine.. réfléchit.. et envisage de "sauver Wagnonville". Puis l'épicerie va moins bien avec l'arrivée des "Auchan", "Carrefour", "Leclerc", etc.. Mon oncle Michel est revenu à Seclin et travaille à l'épicerie.. donc.. un choix sera fait.. Michel reprendra l'épicerie.

  • 1968 : "Sauver Wagnonville"
L'Epicier de son temps..

Papa et Maman.. Papa porte la blouse qu'il portait au magasin à Seclin..

Je pense que cette photo date de la période "entre deux".. où il est entre l'épicerie à Seclin et l'entreprise d'horticulture de Wagnonville (Douai)..

"Des couronnes et des croix" parce qu'on y fait de la production florale, pour les clients fleuristes, et pour le magasin de fleurs.. qu'ils allaient acquérir.. à Dorignies.. On en a fait des couronnes et des croix de fleurs..

Je reviendrai sûrement sur la période "L'épicier de son Temps".. Entre le magasin et l'aéroport de Lesquin et son amour pour  l'aviation qu'il fait partager à ses clients ! (et à toute la famille..)

Sur le manuscrit, il a écrit "Toute ma vie, j'ai rêvé...". Non il n'a pas rêvé d'être une hôtesse de l'air, mais de piloter.. et il l'a fait..

Et retour à Wagnonville..

La suite au prochain numéro !

De Séverin Emile Marteau..

Publié le par Evelyne Guyader-Debrabant

L'un de mes arrières-grands-pères maternels..

Suite à mon travail (voir billet précédent) sur les ancêtres de Séverin Emile Marteau, mon agp maternel, que j'ai connu, mais si peu, j'ai eu l'idée de demander à mon amie Seclinoise, Danièle Lerouge, passionnée de généalogie et de l'histoire des Estaminets de Seclin entre autres (dont elle a fait un livre, que j'ai), où je pourrais trouver la date à laquelle mes AGP maternels Marteau ont tenu l'Estaminet de la rue Storez, Porte d'Arras, à Douai. Elle a cherché mais n'a rien trouvé de ce côté... 😥

"Evelyne, je n’ai rien trouvé sur le cabaret à Douai. Il faudrait retrouver un acte notarié chez un notaire de Douai pour l’achat ou la location de ce cabaret. Mais lequel, et en plus on ne connait pas la date. Comme c’est assez récent le notaire n’a surement pas versé ses archives aux ADN. Donc c’est difficile à retrouver.

En cherchant, j’ai trouvé quelques articles de journaux. Ce sont de petits faits de sa vie mais intéressants parce que Séverin était apprécié et investi dans le secteur culturel. Cela donne une idée de son caractère."

Merci, Danièle ! Et voilà ces articles de journaux.. (Diaporama - cliquer pour voir chaque document en entier)

 Dans l'ordre : Grand Echo du Nord Orchies (concours de sténo et dactylo), Grand Echo du Nord, 22 février 1908 (Bersée-Fête Annuelle), Grand Echo du Nord, 16 février 1911 (Bersée-Soirée Récréative), La Dépêche, 27 octobre 1913 (Les Viticulteurs).

De Séverin Emile Marteau..
De Séverin Emile Marteau..
De Séverin Emile Marteau..
De Séverin Emile Marteau..

Passionnant, non ?

Découvrir des anecdotes de la vie de ses ancêtres.. qu'on a connu, mais si peu...

Remarque : Séverin qui a fait la guerre de 14/18 (voir notes sur Généanet, lien ci-dessous), est décédé le 11 novembre 1964, le 11 novembre, jour de commémoration de l'Armistice de 1918.

Du Beau Monde..

Publié le par Evelyne Guyader-Debrabant

Une belle découverte, parmi mes ancêtres... Un certain Gilles d'Haubersart.. (né vers 1370)..

Maintenant il faut que je trouve quels sont nos liens.. sachant qu'il s'agit de la 18e génération ! (à vérifier).

De plus, pour simplifier, parmi les d'Haubersart qui sont sur mon arbre, 3 se prénomment Gilles ! Il me faut donc les numéroter !

Puis me reste à étudier le document ci-dessous, découvert sur Généanet..

Page "D'Haubersart" réalisée le 14.06.2005 par Benoît de Diesbach Belleroche et complétée par Thibaut Brasme (28.06.2005) et Louis de Vasson (12.2011)

Auteur de la page : Benoît de Diesbach Belleroche, 
Généalogiste - Membre de l'Académie Internationale de Généalogie, et de l'Ordre des Palmes Académiques, Route de Bourguillon 38, 1722 Bourguillon / Fribourg (Suisse).

Qui suis-je donc par rapport à cette famille ?

Personnage : Gilles (I) d'Haubersart.. (né vers 1370).

Evelyne Micheline Andrée DEBRABANT est une descendante à la 17e génération de Gilles d'HAUBERSART (I).

- 1 branche : Voir (branche maternelle)

Parenté : 0% - Ascendants d'Evelyne Micheline Andrée DEBRABANT jusqu’à Gilles d'HAUBERSART (I) - Voir

Et ce soir Généanet me dit : "La mise à jour est terminée !
Il y a désormais 989 individus dans votre généalogie en ligne 
(Aller sur mon arbre en ligne)"

Et j'ai calé.. en 1350 ! (20e génération - il y a 672 ans !).. Sur ma lancée, j'ai remonté une autre branche...

Personnage : Jean dit le Bâtard de LANNOY de la LYS ! un chevalier, Seigneur du fief de Roubaix !

Parenté (1 lien de parenté) -Evelyne Micheline Andrée DEBRABANT est une descendante à la 20e génération de Jean Dit Le Bâtard de LANNOY de la LYS.

- 1 branche : Voir (branche maternelle)

Parenté : 0% - Ascendants d'Evelyne Micheline Andrée DEBRABANT jusqu’à Jean Dit Le Bâtard de LANNOY de la LYS - Voir

(en cliquant sur "voir", on obtient une liste)

Bon... Ces deux découvertes du soir sont donc sur ma branche maternelle, des ancêtres de mon arrière-grand-père Séverin Emile Marteau (qui fut comptable, instituteur et cabaretier..)

Mes arrière-grands-parents maternels Séverin et Marie-Madeleine Marteau-Vermeersch, décédés en 1964 et 1962 ont tenu un Estaminet, dans les années 50/60,  Porte d'Arras à Douai...

 

photos du netphotos du net

photos du net

Du Beau Monde..

Photo empruntée sur le net.. (https://monumentum.fr/porte-arras-pa00107485.html)

"Le Storez, demeure de briques rouges dont l’histoire remonte à 1886, date à laquelle un premier estaminet s’y était installé", est resté longtemps un bistrot/restau. Il y a 2 ou 3 ans j'avais lu dans la presse douaisienne, qu'il était question que ça soit vendu.. et devienne un salon de coiffure.. 😥

D'après Google view (images pas bien mises à jour), mes infos ne seraient pas fausses.. Il y aurait bien un coiffeur au 116, rue Storez.. Faut que je demande confirmation à des douaisiens  !

Jeudi 9 juin : je reprends pour essayer de terminer la saisie des ascendants de Jean, dit le Bâtard, de LANNOY.. Passionnant tout ça !

A suivre !

 

Anniversaire..

Publié le par Evelyne Guyader-Debrabant

Décidément, je n'écris plus sur ce blog que pour les anniversaires.. et c'en est un de plus..

Et aujourd'hui, elle aurait eu 92 ans, ma Maman..

 

Mais je m'en vais de suite travailler sur quelques uns de ses ascendants manquants..

Stéphanie DORCHIES, par exemple, une de ses arrières-grand-mères paternelles, cultivatrice, née le 4 septembre 1809...

Et voila le travail ! J'ai remonté 4 générations de cette branche de mon grand-père maternel.. je n'ai pas tout trouvé, mais... les parents de Stéphanie, ses grands-parents, 6 de ses arrières-grands-parents.. et 6 de ses arrières-arrières.... 

L'ancêtre du jour, le plus ancien :

Génération 10

Il y a 71 ans..

Publié le par Evelyne Guyader-Debrabant

Mes parents se disaient "Oui"... à la Mairie de Douai.. le 16 juillet 1949..

J'aurais aimé avoir une photo de leur mariage.. Cette photo qui trônait sur le buffet chez mes grands-parents.. Hélas.. je ne sais pas ce qu'elle est devenue..

Je pose cette photo.. C'était 20 ans plus tard..

Wagnonville, 1969

Il y a 71 ans..
Il y a 71 ans..

La Fête des Grands-Mères..

Publié le par Evelyne Guyader-Debrabant

L'occasion d'écrire sur mon blog "Ma p'tite Famille", ma façon de célébrer les grands-mères, et particulièrement mes grands-mères..

- ma grand-mère paternelle, Simonne CREYF

- ma grand-mère maternelle, Marcelle Rufine MARTEAU

Un Tordeur d'Huile..

Publié le par lafamilledeve.over-blog.com

Un de mes ancêtres de la branche maternelle, Auguste Joseph DERACHE exerçait la profession de Tordeur d'huile.. à Annoeullin (59)

Métiers: tordeur d'huile, huilier, olieur, olieux etc.

Au début du 19ème siècle, l'arrondissement de Lille possède 267 tordoirs ou moulins à huile. Le prix de cette construction était de 5 à 6000 francs. Ces moulins produisaient de 300 à 600 hectolitres d'huile par an. Dans chaque tordoir se trouvaient 2 hommes et un apprenti. On les appelait des «Olieux» ; leur salaire est évalué au prix moyen de 50 centimes par hectolitre de graine convertie en huile. Dans notre région, on tire l'huile principalement du Colza, car celle-ci était utilisée pour l'éclairage. Les huiles étaient livrées au commerce par tonnes (tonneaux) d'où le développement en parallèle du métier de tonnelier.

La profession d'olieux était rude à cause du bruit assourdissant des pilons et la forte chaleur dégagée par le chauffoir. Le saint patron était Saint Clément.

 

 

Évelyne Micheline Andrée DEBRABANT est une descendante à la 6e génération d'Auguste Joseph DERACHE.

Ascendants d’Évelyne Micheline Andrée DEBRABANT jusqu’à Auguste Joseph DERACHE   Voir

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